Tendance Ellipsis 360

13 énigmes, 13 indices, 22.500€ de prix à gagner !

Du jamais vu dans l'édition littéraire...

Le voisin de la rue des écarlates, un roman concept qui emporte le lecteur dans un périple où il deviendra acteur, enquêteur et peut-être... vainqueur.

Pourquoi ce jeu ?

Pour faire revivre une enquête baclée dont le médecin légiste écrira plus tard dans ses mémoires que "la seule fois où on a voulu lui faire prendre des vessies pour des lanternes c'était pour l'affaire René Lucet".

13 énigmes, 13 indices, 22500 euros de prix à gagner, la plus forte dotation existante dans le domaine de l'édition littéraire.
9 énigmes ont un rapport direct avec l'affaire René Lucet, 4 avec le roman.
Toutes les réponses existent sur internet. Certaines, d'informations générales, sont facilement trouvables sur des sites comme wikipedia.

Pour certaines réponses, il y a trois possibilités:

- s'intéresser à l'histoire, aux lieux, certains personnages existent vraiment et n'attendent que d'être contactés pour vous révéler la réponse à leur énigme.

- d'autres personnages ont une existence virtuelle. Leur profil existe sur différents sites de rencontres professionnelle ou universitaires (Viadeo, Facebook...). Là encore, il suffit de les contacter pour obenir une réponse.

- coquilles d'impression, fautes d'ortographe formeront des anagrammes qui renvoient vers des sites hébergés par l'éditeur en Russie, au Brésil et vous donneront d'autres réponses aux énigmes.

Bonne chance !

L’amour donne des ailes mais coupe la plume…

Remarque fort à propos de mon cops Fred de Mai qui s’étonne de mon absence de mots.

Je ne me répands plus nulle part, je ne parle que si nécessaire, je bosse et je plane beaucoup, mais bon dieu que c’est bon !

C’est bon … et pour reprendre les mots du responsable de mon silence « ca fout les jetons ! ».

Il est entré dans ma vie c’était pas prévu, c’était même impromptu, en tout cas inattendu, (bref des trucs en U mais pas d’interprétations sauvages svp, merci !), il a posé sur moi un rayon de soleil et je fuis maintenant l’ombre de mon clavier, le confort de l’écran total protecteur et je m’expose pour de vrai.

Ca brule les yeux, ca pique un peu, ca réchauffe beaucoup, ca enveloppe le corps et ca fait frissonner le cœur…qu’est-ce qui m’arrive ?  J’ai attrapé un coup de soleil, comme disait l’autre !
Attrapé sans rien demander et pas envie de le laisser repartir le rayon de Cyril…qu’il continue à avoir les jetons de la maturité et du linge repassé, qu’il garde son regard d’enfant toujours, qu’il cherche ses mots et parle avec ses yeux, qu’il me caresse la main, qu’il m’embarque sur son cheval de fer et que je me colle contre lui, qu’il dise des gros mots, qu’il dise des petits mots et que chaque soir on refasse notre monde…qu’il soit lui, qu'il soit là.

Flowuzz, de la vente privée mais pas que…

C’est nouveau et c’est tout beau. Joli design, fluide, acidulé, branchouille, décalé…derrière la jolie vitrine, un concept qui va plaire à tous les dénicheurs de tendances. Une marque, une semaine, une vente, c’est l’idée.

Les marques ? Des jeunes créateurs dans les domaines de la mode, du design, de la beauté, le tout assez souvent orienté développement durable. Pas de déstockage massif à moins 80% mais la mise sous le projo de produits qui le valent bien.
En ce moment, sacs et besaces Cyclus fabriqués à partir de chambres à air de camion recyclées…pour être beau...comme un camion!
Et juste derrière, à partir du 9 septembre, ma petite marque chouchou de cosmétiques bio d’exception, Officinea, fera sa rentrée sur flowuzz.

C’est là que ca se passe : http://www.flowuzz.com
Et le code de parrainage : http://www.flowuzz.com/create_account_customer.php?cp=kmv0xajkv

les doigts de pied en bouquet de violettes

Déjà adepte de la chaussette à doigts de pied, me voilà tombée raide dingue de la fivefingers.
La sensation orteils écartés, on aime ou pas…moi, j’aime.
Confort absolu dans ce chausson/chaussure grâce à sa semelle en vibram qui permet de crapahuter dans les rochers, grimper, sauter, courir sur tous les types de sols en ressentant  toutes les sensations mais en protégeant nos jolis petons.
Pas l’ombre d’un rocher en vue, je vais donc jouer un peu la provoc et porter mes fivefingers en ville, juste pour le plaisir de sentir le goudron parisien, d’attirer les regards étonnés, parce qu’il faut le dire, je suis une heureuse privilégiée…la fivefingers n’a pas encore débarqué en France.

www.vibramfivefingers.com

Je ne suis pas un sein!

Cri du cœur de soeurette qui vient de donner naissance à petit Arsène.

Flash back, souvenirs anciens qui remontent à la surface…c’est vrai, l’allaitement c’est formidable
mais j’avais oublié à quel point on s’identifie très vite à une vache à lait. « Mes journées tournent
autour de mes nichons » me dit-elle !

Tirer le lait, nettoyer, éponger les montées de lait, sentir deux obus pesants et donc très présents s’alourdir, s’engorger et déborder dès que bébé crie famine, et puis finalement, prendre le petit ange contre soi, le regarder se rassasier en vous déchiquetant les tétons…et s’émerveiller.

 

sacré coeur

Le goût de sa substance coule sous ma peau. Poison lent. Impossible oubli.

Echancrure béante de la vie sur le rien. Cuisses vides, ventre creux, âme à la dérive…

Le cœur s’est invité dans le cul, il n’aurait pas du.

L’armoire des ombres ou quand la poésie s’invite dans un roman

Hyam Yared est femme, libanaise, écrivain, poète, belle, touchante, drôle…sa plume nous emmène à Beyrouth,à la découverte d’une société cadenassée, coincée entre conservatisme et silicone.

Ombres sorties d’une armoire comme d’un ventre qui accouche dans la douleur d’histoires
liées, entremêlées, elles s’invitent dans la peau de la comédienne qui chaque soir laisse son ombre au vestiaire et improvise son rôle. Elles sont uniques, elle est multiple.

Pantelante et dépouillée d’elle-même, une armoire et une chaise pour seul décor, chaque soir, elle remet au monde une femme en regardant sa propre existence, son incapacité à entrer dans un moule trop étriqué.

Elle interpelle sa mère, elle plaide pour le droit à l’amour, elle hurle sur un sexe qui interdit
l’identité, qui n’a que le droit de reproduire et de se taire.
Les ombres du passé sortent du placard et entrent dans la lumière, portées par des mots qui s’entrelacent,coulent comme de la musique, s’entrechoquent et nous emportent au-delà des frontières d’un Liban trop petit pour les contenir tous.

Hyam Yared a réussi le tour de force avec l’Armoire des ombres d’unir avec une infinie subtilité la poésie et le quotidien, pour créer un univers onirique ancré dans la réalité.

http://www.passiondulivre.com/livre-27993-l-armoire-des-ombres.htm

si j'étais moi...

Si j'étais moi,
Ni la montagne à gravir
Au bord du vide, la neige à venir
Ne me feraient peur

Si j'étais moi
Ni les pages à écrire
Ni de trouver les mots pour le dire
Ne me feraient peur

Mais je me lâche la main
Je m'éloigne de moi
Je me retrouve au matin
Sur la mauvaise voie
Quand on se perd en chemin
Comment venir à bout
De ces efforts inhumains
Qui nous mènent à nous

Si j’étais moi
Ni la femme que je suis
Ni l’homme même qui dort dans mon lit
Ne me feraient peur

Si j'étais moi
Ni les démons que je cache
Les idées noires, les flammes que je crache
Ne me feraient peur

Mais je me lâche la main
Je m'éloigne de moi
Je me retrouve au matin
Sur la mauvaise voie
Quand on se perd en chemin
Comment venir à bout
De ces efforts inhumains
Qui nous mènent à nous

Si j'étais moi
Tout ce que j'ai sur le coeur
Ce que je fais de pire et de meilleur
Ne me feraient peur

Si j'étais moi
Ce que je fais de pire et de meilleur
Ferait mon bonheur
Si j’étais moiaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAHHHHHHHH

Automactulation

Aujourd’hui, en phase de déconstruction-reconstruction, j’ai tenté l’automutilation au Mac Do.
Juste une rue à traverser pour se procurer l’arme du crime. Ca a commencé tôt ce matin avec un frigo
vide et donc, un bon prétexte pour m’adonner à une pratique que je sais maintenant hautement à risque.
Direction le temple de la malbouffe. Je demande à la dame, gracieuse comme une hyène en période
prémenstruelle:

« Un brunch s’il vous plait ». 
« A emporter ? »
« Oui, à emporter, je vais quand même pas faire ca devant tout le monde… »

Elle me colle un jeton sur le comptoir pour le café, parce que visiblement, le café est en self service.
Ha bon.
Machine, jeton, gobelet…gobelets ? Je vois bien un tas de couvercles mais pas l’ombre d’un gobelet.
Pas grave, j’introduis le jeton me disant que le gobelet va tomber tout seul. Non, le café tombe tout seul, pas le gobelet. Et puis, je vois tout à droite, là…tant pis, trop tard.

Retour bercail et déballage de l’attirail. Nous avons donc :
1 jus d’orange
1 fromage blanc avec des trucs rouges au dessus (fruits ?)…je confirme des fruits. Le tout est sucré comme une barbapapa
3 viennoiseries
1 sandwich, comme les hamburgers mais avec du lard caoutchouteux et grillé posé sur une rondelle blanche et flasque (du blanc d’œuf semble-t-il), posé lui-même sur de la tomate et une feuille de salade.

Ce sera viennoiseries et basta. J’ai pas pu, petite joueuse que je suis.
Enfin pas si petite joueuse que ca puisque j’ai réitéré pour le déjeuner. C’était pas la même dame.
Celle là, aussi aimable que celle du brunch, me dit d’un air épuisé « frites, coca »
« Quoi frites, coca ? »

Elle me toise comme si je sortais du fond de la brousse, ce qui est un peu le cas, et en articulant du mieux que ses mâchoires crispées l’y autorisent, dans un effort surhumain, elle répète « FRITES …COCA ».
Ok, donc ca n’est pas une question…je tente donc, un FRITES …BIERE...? Bingo, ca marche !
Je vais pas décrire le contenu d’un mac chicken, tout le monde, hélas, connait…
Je me meurs…

sortie de coma

Les yeux mi-clos, quelque chose filtre à travers le rideau, une lumière jaune qui fatigue le sommeil et interdit le repos salvateur…Il y a les bruits aussi. Etouffés, plus bas…quelque part.
Je touche mon corps et je le sens, il est en vie.

Cette lumière jaune toujours, fatigante, quand je voudrais le noir absolu, le rien pour reposer ma tête et pour oublier que le corps est lourd. Je dois être dans un de ces services où des gens en blanc ne vous laissent jamais dormir, où l’on surveille nuit et jour la température du corps, les battements du cœur, l’état général…

Non, voilà, je sais maintenant. Je suis juste dans la grande ville.

Une petite chambre dans la grande ville avec le réverbère d’en face et le bruit en bas. Un homme à côté voudrait se rapprocher sans m’étouffer.

Parce que j’étouffe. J’ai mal au dos, j’ai froid aux pieds et j’étouffe.

Je crois qu’il le sent. Je crois qu’il voudrait donner de l’énergie, insuffler la vie dans un corps fatigué d’avoir été livré à lui-même, de n’en avoir fait qu’à sa tête. Il le caresse doucement, attendant un retour qui ne vient pas. Il se couche sur ce corps, le désire... et laisse couler des larmes chaudes le long d’un cou qui déjà ne répond plus. 

Les yeux dans le blanc du mur, la tête tournée vers un ailleurs possible, le désir a quitté le corps, la vie reprend ses droits.

Des bulles rosées, fraiches et caressantes comme la rosée…

Invitation à la dégustation dans un salon feutré, fines bulles et petits canapés, découverte d’un Champagne qui nous annonce le printemps, comme une promesse.

Le Champagne aide à l’émerveillement, disait Georges Sand.

Il l’aide d’autant plus lorsqu’il revêt des arômes de fraises des bois, de mures sauvages et de framboises et lorsqu’il est expliqué avec la toute la passion de ceux qui travaillent à son élaboration.
La Maison Malard jongle avec les trois cépages champenois. Pinot noir, Pinot Meunier et Chardonnay pour un assemblage raffiné et sensuel, invitation subtile à une découverte fruitée…

Le Champagne, symbole du luxe

Il est l’hôte obligé des soirées mondaines et des diners aux chandelles. Il est magie enchanteresse et invitation aux plaisirs. Il tourne les têtes sans les étourdir et allume des étoiles dans les yeux…
Son prix, parfois exorbitant, souvent injustifié, n’arrête en aucun cas ses inconditionnels. Le luxe a un prix, l’art de vivre aussi. Le marché se porte bien, avec une demande supérieure à l’offre et des Maisons qui rivalisent d’originalité dans la présentation du précieux breuvage. Ecrins bling bling,
fourreaux de tissus, coffrets, le contenu se pare des plus beaux atours pour guider la main du consommateur.
La Maison Malard nous offre avec son Champagne rosé un produit hautement qualitatif pour un prix très abordable de 24 Euros la bouteille.  Tchin !

sous le soleil de Marrakech comme à la maison

Petit Paradis à l’écart de Marrakech, proche des golfs, où l’accueil est assuré par Rachid, le maitre des lieux.
Là, le temps s’arrête pour une pause au bord de la piscine ou autour de la table, chouchoutés par un personnel d’une gentillesse et d’une discrétion exemplaire. Neuf chambres spacieuses, joliment décorées, des salons paisibles, pas une faute de gout, tout y est…on est à la Villa des Golfs, une adresse qui vaut le détour pour découvrir cette ville en perpétuel mouvement  et s’enivrer des odeurs, des saveurs, de la douceur de vivre et s’échapper de la grisaille pour une parenthèse au pied de l’Atlas.
A Marrakech, on se noie dans la foule de la Medina, on déambule le long de l’Avenue Mohamed 6 où les plus grandes marques commencent à poser des jalons, on croise des calèches et on essaie d’éviter les deux roues chevauchés par deux ou trois passagers, les grands derrière, les petits devant.
Tout n’est que contrastes, images insolites et lumière enchanteresse…
Les soirées au pied de l’Atlas sont fraiches et rappellent que les neiges éternelles ne sont pas loin.
Petite laine à ne pas oublier car, là encore, le contraste entre le jour et la nuit est saisissant.
Et pour finir la journée en douceur, La villa des Golfs propose hammam et massages, espace de détente absolue et d’absolue volupté…